Une mauvaise herbe est une plante qui a maîtrisé toutes les compétences de survie sauf celle d’apprendre à grandir dans le rang, soyez une mauvaise herbe.
Doug Larson
L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) définit la santé comme « un état de complet bien-être physique, mental et social, [qui] ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité ». Les déterminants sociaux de la santé sont « les circonstances dans lesquelles les individus naissent, grandissent, vivent, travaillent et vieillissent ainsi que les systèmes mis en place pour faire face à la maladie ».
La santé est ainsi prise en compte dans sa globalité. Elle est associée à la notion de bien-être. En adoptant ce point de vue, la question de la prévention devient centrale. Rester en santé, préserver un équilibre physique et psychique, relève de la responsabilité de chacun, et ce, tout au long de la vie et quel que soit la donne de départ.
J’accompagne les âmes courageuses, parents d’enfants extraordinaires et les aidants à se libérer de leur fardeau émotionnel pour s’épanouir dans leur vie personnelle et professionnelle, et vivre en paix avec eux-mêmes.
Parce que la vie est tout sauf un long fleuve tranquille… Les aléas rencontrés et les épreuves traversées forgent la singularité de notre être que je considère comme une richesse infinie. Je pratique la maïeutique, convaincue que chacun de nous a en lui les qualités nécessaires pour accomplir sa destinée, concocter ses propres recettes du bonheur, et vivre en harmonie avec son environnement et ses proches.
Ma démarche s’appuie sur des techniques naturelles, éprouvées et reconnues pour vous aider à mettre des mots sur les maux, à développer l’estime de soi et la confiance en la vie afin d’envisager d’autres avenirs possibles. L’authenticité et l’intégrité sont essentielles dans mon rapport aux autres. L’éthique et la neutralité sont fondamentales dans l’exercice de ma pratique.
Les prises de conscience laissent émerger des ressources intérieures insoupçonnées et pour beaucoup inexploitées. Identifier nos parts d’ombre et de lumière, reconnaître notre vulnérabilité tout autant que nos forces permet de redonner au corps sa capacité d’autorégulation. L’alignement nous reconnecte à nos envies, à notre liberté d’être et d’agir. Nous retrouvons notre unité.
Prendre soin de soi c’est aller au-delà de ce qu’on nous conseille parfois, « vas chez le coiffeur, prends rdv chez le docteur, vas voir un psy… ». Bien sûr que tout cela aide… Mais au fond de soi, c’est un désarroi bien plus profond…
On connaît la chanson… « le travail est bon pour la santé ! ». J’ajouterai : si et seulement si, certaines conditions sont réunies. C’est la spécialité de l’ergonomie de garantir la pratique d’une activité physique et intellectuelle en confort, en sécurité et en santé.
Identifier ce qui fait sens dans notre existence est constructif et évolutif pour notre être, et essentiel à notre bien-être. Notre « raison d’être » comme nous l’appelons parfois évolue au fil du temps car la vie est mouvement et nous invite au changement.
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