Le rire est une poussiere qui fait eternuer le coeur.
Anonyme
…c’est aller au-delà de ce qu’on nous conseille parfois, « vas chez le coiffeur, prends rdv chez le docteur, vas voir un psy… ». Bien sûr que tout cela aide… Mais au fond de soi, c’est un désarroi bien plus profond qui nous accule et nous ramène à vivre en permanence en mode « réaction/action », restant centré 100% de notre temps sur les besoins de l’autre, pour qu’il reste en vie, en s’oubliant souvent et en reniant parfois nos propres besoins et nos simples en-vies. Le temps libre nous fait défaut, le parcours de vie devient celui d’un combattant vivant un amour aussi grand qu’un désespoir des plus profonds. Les montagnes russes des émotions n’ont d’égal que cette force de croire qu’autre chose est possible, que la vie et l’amour peuvent triompher du pire pour laisser émerger le meilleur car tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir… comme on dit. Tenir coûte que coûte, faire face et résister jusqu’à manquer de souffle et se perdre dans sa vie.
…requiert de la force, de l’énergie, beaucoup d’abnégation. C’est une grande responsabilité qu’on porte souvent seul en tant que parent touché en sa chair, que ce soit pour un enfant gravement malade ou porteur de handicap – quand les deux ne se combinent pas. Cette expérience nous transforme en tant que fils/fille d’un parent devenu dépendant par la force de l’âge. Ou encore lorsqu’une maladie incurable et irréversible touche notre conjoint, coupant court à tout à-venir en commun.
Les spectres du mal-être, du « mal-aise », de « la-mal-à-dit », de la dépression, voire du burnout parental/familial combiné à l’isolement et au poids de la responsabilité que l’on porte sur nos épaules… tout cela pèse lourd et peut d’ailleurs « vous peser ».
Pour tenir et (sur)vivre pour soi comme pour les autres, il est important de « vider son sac » – ce trop plein d’émotions qui nous assaille, cette « surcharge émotionnelle », qui conduit à un épuisement physique et psychique non dicible car lié à un sentiment de culpabilité, de ne pas faire « suffisamment » ni « assez » bien … Le sentiment d’être démuni. L’impression d’être dépassé(e) sans aucune lumière visible au fond du tunnel. Un ressenti d’impuissance, d’injustice et de colère d’être confronté à ce vécu douloureux et pouvant être la source d’une immense détresse intérieure.
Mon accompagnement se veut une présence entière, un temps d’écoute et de partage pour aborder les problématiques qui vous animent et vous habitent, de façon à faciliter votre quotidien d’aidant.
Le but est de redonner au corps ses capacités d’autorégulation pour maintenir son équilibre et vous garder en santé.
Le résultat est un réconfort psychique (libération des états liés au vécu prolongé de situations de stress, régulation des émotions), le renfort de votre énergie vitale (apaisement et ressourcement) et le relâchement des tensions corporelles (récupération et évacuation de la fatigue physique et psychique).